Nos engagements Nature
Notre village de Saint Privat de Vallongue est partenaire du Parc National des Cévennes et est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO au titre de l’agropastoralisme. Autant vous dire que notre village de vacances municipal est très attaché à la nature et à la biodiversité.
Nous avons depuis 4 ans la marque Esprit Parc National et en sommes très fiers,
nous qui œuvrons pour la préservation et la valorisation de notre territoire.
Découvrez notre territoire classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO : Les Causses et Cévennes en visionnant ce webdocumentaire en cliquant ici.
Nos engagements nature de + en + développés :
Le Parc National des Cévennes.
Le territoire des Causses et des Cévennes a été inscrit le 28 juin 2011 par le comité du Patrimoine mondial de l'Unesco sur la liste prestigieuse du patrimoine.
Le Parc national des Cévennes, situé au sud du Massif central, s’étend sur les départements de la Lozère, du Gard et de l’Ardèche. Territoire de moyenne montagne, il est formé de quatre entités géographiques distinctes : le massif de l’Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère et les vallées cévenoles.
Le climat, l’altitude et la géologie, fortement contrastés ont influencé l’implantation et les activités humaines, l’architecture, les paysages, la végétation et la faune de chacun de ces quatre massifs.
Le mot du Parc :
"La destination Parc national des Cévennes est fondée sur les valeurs de l’écotourisme : découverte douce de la nature et du patrimoine culturel, accessible à tous ; échanges avec les hommes et les femmes qui vivent et travaillent dans le Parc national qui est en effet le seul Parc National métropolitain habité.
Une nature généreuse et protégée
Elle est avant tout une destination de nature, une nature généreuse, façonnée et préservée par l’homme. Paysages à couper le souffle, richesse et diversité des lieux, pureté des éléments, abondance des sources, grands espaces ouverts ou forestiers font que ce territoire a été reconnu parc national, désigné réserve de biosphère, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité. Il est protégé, notamment par une réglementation qui s’applique dans la zone du Parc nommée « cœur ».
Des expériences à vivre
Un séjour dans le Parc national des Cévennes est aussi fait de rencontres et de partages avec des hommes et des femmes profondément attachés à leur terre, leur culture, leurs savoir-faire et engagés dans des pratiques écoresponsables : agriculture biologique, hébergement durable, accompagnement à la découverte des patrimoines, artisanat traditionnel… Auprès d’eux, au cœur d’une architecture traditionnelle magnifiquement préservée, ou immergé, seul ou en groupe, au cœur de la nature, le visiteur a la garantie de se ressourcer comme il le souhaite et de s’imprégner de l’esprit des lieux. "
Les Cévennes et la Vallée longue
Sur le versant sud, méditerranéen, des Cévennes, les Gardons coulent vers la plaine languedocienne et la mer Méditerranée. Trois vallées en font partie :
- La Vallée Française : la belle route de la Corniche des Cévennes permet de découvrir cette vallée cévenole et ses villages typiques : Le Pompidou, Sainte Croix Vallée Française et Saint Etienne Vallée Française.
- La vallée Borgne : accessible par le Col du Marquaires les villages de Bassurels, Saint André de Valborgne, Les Plantiers.
- La vallée Longue qui arrive au Col de Jalcreste, partage des eaux entre la Méditerranée et l’Atlantique, est suivie par la route nationale d'Alès à Florac via Saint Privat de Vallongue et le Collet de Dèze
Ces trois vallées présentent une succession de sommets, de pentes escarpées et de vallées encaissées. Terrasses (bancels) et murets de pierre sèche scandent le paysage que l’homme a bâti pour vivre dans les Cévennes schisteuses, permettant, en particulier, la culture des châtaigniers.
Châtaigniers et chênes verts se partagent le territoire. Tous deux craignent le froid. Le premier occupe les pentes non rocheuses entre 500 et 900 m d’altitude, tandis que le second règne sur les versants rocheux ensoleillés à moins de 500 m d’altitude.
Les paysages résultent du travail acharné de l’homme qui a implanté mas et hameaux à mi-pente, près de points d’eau, et a aménagé des espaces cultivables autour des habitations. Longtemps, les bancels ont été occupés par les mûriers. Aujourd’hui, le maraîchage ou la culture du safran permettent de continuer à entretenir ces terrasses.
L’élevage des chèvres et la fabrication du célèbre pélardon - qui bénéficie d’une AOP-, la production et la transformation des châtaignes sont parmi les principales activités économiques.
Dans les cours d’eau, souvent capricieux, notamment lors des « épisodes cévenols », le castor et la loutre sont bien présents. La salamandre affectionne également le territoire. Les vieux châtaigniers creux abritent une vie cavicole intense : chouettes, oiseaux, genette, chauves-souris, insectes et écureuil peuplent les lieux. Dans les forêts, sangliers et cervidés abondent.
S'informer sur le Parc
Les Maisons du Parc, situées à Florac, à Valleraugue au col de la Serreyrède, et à Génolhac, accueillent, informent et conseillent toutes celles et ceux qui souhaitent découvrir le Parc, son territoire et ses patrimoines, ses actions.